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septembre 30, 2016

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By Brice Edmond TCHIBOZO

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Bénin, élevage poissons hors étang

Le Bénin malgré ses 750 km de cours d’eaux et ses 320 hectares de bas fond, reste déficitaire en produits halieutiques. Pour réduire la pauvreté des ménages de pêcheurs les plus défavorisés, renforcer les capacités des communautés cibles à gérer efficacement les ressources naturelles, le gouvernement avec l’aide des partenaires au développement a initié un vaste programme d’élevage de poissons hors étang. Les espèces choisies sont le poisson- chat ou silure noir et le tilapia. L’objectif visé est d’amener les populations béninoises à élever pour leur consommation des poissons comme elles élèvent la volaille, afin de réduire la surexploitation des plans d’eau. Jacky, un français vivant à Djougou dans le nord Est du Bénin, comme bon nombre de béninois y a cru et ça lui marche ! Mes 2 premiers Tilapias de production "maison" d'une taille mangeable, quelle différence de goût avec les produits dégel... Posté par Jacky Marnot-Houdayer sur jeudi 8 octobre 201...

L’Orpaillage à la sauvette prive le Bénin de précieuses ressources

Quelques paillettes d'or matériaux d'extraction d'or Les habitants du village de KOUATERNA se sont mobilisés pour extraire l’or au vu et au su de tout le monde. Le Bénin traditionnellement n’était pas pressenti comme un pays minier, mais vu sa morphologie et son positionnement par rapport aux autres pays de la sous région, il est clair que le sous sol d’un pays comme le nôtre ne saurait être dépourvu de ressources minières. Le début de l’exploitation de l’or dans l’Atacora pendant la période coloniale est venue conforter notre assertion.

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Fruits et légumes frais, jolis, attrayants de Hilacondji à l’ouest et de Malanville au Nord Est du Bénin, deux agglomérations qui ont ouvert la route des légumes et des fruits ignorée par l’Etat béninois et qui vendent leurs belles images aux pays frontaliers. ‘’Ouvrez les yeux, courez dans les jardins acheter les récoltes. Ne restez pas à conférer car le temps est notre ennemi’’. Par ces mots, Loukman un des grossistes, habitué des lieux vient de mettre fin à la concertation avec un groupe d’intermédiaire béninois chargé de l’approvisionnement en légumes et fruits. La rencontre a lieu dans la localité de Codjovicondji à quelques kilomètres de la frontière Bénin- Togo. Sur- le- champ, il leur remet deux millions de francs cfa en espèces pour les achats de la journée.

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