La confiance en soi, la confiance en son peuple et la confiance en ses dirigeants

La confiance en soi, la confiance en son peuple et la confiance en ses dirigeants

La confiance se manifeste à trois niveaux :

Premier niveau c’est la confiance en soi : Ai-je confiance en moi-même

Vous ne devez jamais dire je ne peux pas alors que vous n’avez pas encore essayé, essayé une fois, essayé deux fois, essayé d’avantage car c’est au bout de l’effort qu’il ya le réconfort.

Qu’est ce que je peux faire tout seul ?, c’est la première imbécilité

Seul je ne suis rien, c’est la deuxième imbécilité.

En chacun de nous sommeille une potentialité, je suis ce que je suis.

Si vous pensez que vous êtes faible alors même votre propre ombre vous fera peur ; mais si vous dites que vous êtes fort, alors plus rien ne peut vous arrêter.

La confiance en soi, la confiance en sa capacité de transcender toutes difficultés.

Un artiste béninois n’a –t-il pas chanter :  « les gagnants ne sont pas ceux qui n’ont jamais chuté, mais ceux qui ont toujours su se relever », le feu président Sékou Touré disait :  « L’échec est inhérent à l’action » et le feu président kérékou : « comptons d’abord sur nos propre force »

Ne soyez pas fataliste

Deuxième niveau de confiance : La confiance en son pays, en son continent

Dieu est juste, il est amour, il miséricordieux. Aucun pays n’est maudit, aucun continent est délaissé, ceux qui le pense ainsi sont faibles d’esprit.

Je ne sais quel Dieu laisserait son peuple dans la misère.

Nous devons avoir confiance en notre pays, en notre continent : Ensemble nous pouvons.

Le troisième niveau de confiance et le plus difficile est la confiance en ceux qui nous dirigent et elle se mérite, elle s’acquiert au fil des jours à travers des actions positives.

Un leader doit être irréprochable, en matière d’exemplarité, il doit incarner une valeur.

Vous connaîtrez la valeur d’un peuple à travers ses leaders.

Le courage, la confiance d’un leader en son pays, oxygène sur l’ensemble de son peuple : L’exemple le plus typique de notre ère est celui du président Rollings au Ghana, du feu président Thomas Sankara.

La pire des injures consiste à rappeler à un homme son devoir.